Nick souhaiterait plus d’engagements entre la communauté médicale et les autres formes de soins de santé.
Transcription
Eh bien, cela va plus loin que la COVID longue et c’est quelque chose que la communauté médicale dans son ensemble doit accepter, à savoir l’émergence et la présence de praticien·nes de médecine alternative. Je pense qu’il faut travailler mieux et de manière plus engagée entre les médecines traditionnelles, occidentales et orientales, pour ainsi dire. Il faut donc une meilleure communication, davantage de spécialistes en médecine interne qui répondent aux besoins des deux parties et il faut une volonté d’acceptation. Aujourd’hui encore, et cela fait près de dix ou quinze ans que je navigue dans le domaine des médecines douces, on rejette généralement cette idée ou on affirme qu’il n’y a pas de recherche derrière tout cela. Je comprends cela, mais en même temps, il incombe à certain·es médecins d’être au courant des recherches, parce que dans certaines situations, il y a certainement des recherches disponibles. Mais elles sont généralement rejetées en bloc, en déclarant que rien n’est d’offert. Je pense donc que c’est à ce niveau que certains changements doivent intervenir. Deuxièmement, s’il y a des traitements disponibles et que ceux-ci sont mentionnés, ils doivent être introduits dans les conversations afin que les patient·es, les besoins des patient·es soient pris en compte et qu’iels soient entendu·es. Si le/la patient·e demande un traitement et que celui-ci s’est avéré efficace dans certaines situations, iel doit avoir une conversation ouverte avec les médecins sur les avantages et les inconvénients de ce traitement.
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